32 ans, n°4

« Fais le bilannn, comme si on avait 50 annnns ! » Une nouvelle semaine d’écoulée mais pas de grandes péripéties.

Une semaine dans l’expectative, entre la fin et la continuation ; que cela soit de mes travaux dans l’appart ainsi que de ma course. Pas un jour où j’ai pû me reposer réellement ni m’entrainer autant que je l’aurais voulu. J’avais la fatigue et l’instabilité, le chaos et la nécessité. Ce sont tous les ingrédients pour voir les choses autrement. Elles ne me feront que mieux apprécier les moments et les tâches où ce contexte passager s’envolera. De cet amalgame de sentiments et de sensations, j’ai gouté à une certaine humilité. Ce qui n’est pas pour me déplaire.

En terme d’écriture, je n’ai pas avancé… Ce qui est hyper gênant. Dans quelques jours se clôturera de concours de poésie sur l’ardeur. J’y pense beaucoup, ai emprunté un livre technique et lourd à ce propos ; mais je n’ai toujours rien couché sur le papier. Après ma crouse, il ne me restera que 2 jours pour pondre quelque chose. De toute façon, l’imminence de ma course accapare mon esprit et mes forces.

A noter tout de même, une matinée de repos pour mes jambes, que j’ai consacré à une réunion d’information à propos de la micro-entreprise. Elle était organisé par la CCI, qui partageait des conseils de bases et des mises en gardes précieuses. Grosso modo le monde de l’entreprenariat requiert beaucoup de qualités mais se révèle souvent ingrat. D’où le taux élevé de mortalité sur les routes, vers plus d’indépendance ou d’enrichissement. Pour approfondir le sujet, il existe plusieurs aides à la formation, instigués et développées par les gouvernements successifs. Devenir plus professionnel m’intéresse beaucoup. On parle aisément des handicaps fiscaux ou du manque de moyens financiers. Je pense cependant qu’une forte motivation, une stratégie, et de la vigueur constituent les ingrédients primaires de toutes les cuisines. Personne n’est contre. Mais vient subtilement cette équation que l’on comprend bien mais dont l’application s’avère ardue : le temps = argent ?

Sinon j’ai bien progressé sur le livre dont je vous parlais ainsi que le manga dans le billet précédent. (Les Terres d’Alme et Bersek). Le premier me captive tandis que le second me fascine. Dans les deux cas, les genres sont respectés. Cependant ils réussissent à jouer avec les codes pour susciter l’intérêt ; sans oublier le souci d’une mise en scène très pêchue ou cinématographique. Je ne les mets par sur le même plan, ce ne sont que mes deux lectures du moment.

Voici pour cette semaine. J’intégrerai le pavé sur ma course dans le prochain billet, ou en ferai un à part.)

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