32 ans, n°5

Semaine post semi-marathon = bonne excuse pour se la couler douce.

Effectivement ma semaine a été rempli de néant ou vide de concret. C’est selon. Entre les travaux et le boulot, je n’ai obtenu le calme nécessaire pour être productif. Pourquoi ne pas aller ailleurs, chercher un lieu adapté ? J’attends vous propositions. Mon 1er critère, c’est le calme. Sinon je n’arrive pas à écrire ou lire.

A l’appartement, c’était le chantier. Tout progressait au mieux. Beaucoup de pièces sont attaquées simultanément, ne me laissant que peu de place pour me poser et reposer. Quand tout le monde travaillait, usinait, je me sentais de trop. Je ne me plains pas, pensant que la priorité va à ce qui doit être fait. Ce n’est que temporaire et tout ira mieux ensuite.

J’ai réussi à consacrer deux demi-journées à mon concours d’écriture, de la poésie sur le thème de l’ardeur. Plus de détails ici. Pour la petite histoire, je me suis rendu à la remise des prix. J’ai fait chou blanc. Pas grave. Ce sera pour une prochaine fois. J’ai été rapidement interviewvé par la Charente Libre puis photographié en mode photo de classe avec tous les autres participants et gagnants. Je me suis mis au dernier rang, l’on ne devrait pas me voir ou reconnaître.

Une fois cet écrit prioritaire terminé, je suis passé à un « écrit de commande ». Je précise que je l’ai fait gracieusement ; non pas que l’en attende quelque chose mais dans le milieu cela sous-entend un retour ou récompense. J’y voyais principalement, et en tout sincérité, une contrainte d’écriture. A l’image de mes ateliers d’écriture. Je me teste en tant qu’écrivain public. Quelqu’un veut écrire mais ne sait comment s’y prendre ? Je peux proposer le service de ma plume !

C’était la seconde lettre que j’écrivais. Je garderai le contenu secret, mais dans les grandes lignes, j’exprime l’amour d’une femme pour sa maman.

Sinon, pour conclure, je suis retourné voir mon imprimeur et la maquettiste. Je voulais démontrer que je n’étais ni mort, ni, surtout, démotivé. Mon travail de relecture étant bientôt terminé (quelques semaines si j’arrive à travailler sur mon ordi) ; j’anticipais celui de la maquette et réalisation du bouquin. On peut dire, sans être méchant, que je me suis prit les pieds dans le tapis. Pour que la maquettiste sache comment tailler le texte, il faut que je me décide sur le format du livre que je désire adopter. Pour le définir, il faut que j’ai une idée du contenu que je souhaite utiliser… C’est le serpent qui se mord la queue.

Pour l’instant, personne ne visite mon blog. Je jette donc ma bouteille à la mer : quel format de livre vous plairez ? Merci, et à la semaine prochaine !

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