32 ans, n°8

On y est ! quasi une semaine de retard sur la livraison de cet article. Je vais essayer de me concentrer sur l’article, cela sera plus rapide pour moi à écrire et vous à lire.

Cette semaine le gros des évènements s’est déroulé sur le week end Pascale : 3 jours de repos dont une aprem d’atelier d’écriture

Je passe sur les travaux qui ont repris, ais n’ont pas permit de rendre ma chambre opérationnelle d’y transvaser mon lit. J’aurais pu dès lors libérer et m’approprier ma pièce d’écriture.

L’atelier d’écriture s’est bien déroulé : j’ai pu répondre à la consigne, sans que ma plume ne bloque ou ne calle. C’était à propos de la multiplicité des points de vue ; dans le style de la brève de journal. Cela confère un style léger, un peu décalé, drôle. Je me donne comme objectif de la taper sur l’ordi avant le prochain billet des 32 ans, soit dans un jour et demi. J’en profiterai pour compter et diffuser tous les ateliers d’écritures valables de cette saison. Je ne me souviens plus si je m’étais censuré à cause de ma relation sentimentale ; ou si mon blog se trouvait déjà en ligne.

Concernant le week-end prolongé de tout ce dont j’ai pu mettre à profit, en heure et en productivité ; je me suis aperçu de la conséquence de la tâche. J’ai atteint laborieusement, presque les 50% de mon objectif. Une partie de moi pensait terminer les ¾ si ce n’est plus… Il n’y a pas de difficulté majeure, ce n’est que du recopiage et de la concentration. – J’avais auparavant réalisé un premier jet manuel. – En tout cas je réalisais plus que jamais le besoin que j’ai, du recul et de la vision extérieure. Tout seul, je ressens bien une partie de moi orgueilleuse ; flémarde et manquant de courage ; me détournant de la nécessité artistique de triturer jusqu’au bout mon texte.

En toute sincérité, je devais participer à un concours de nouvelle sur la folie. J’avais fait un post sur Instagram : j’ai abandonné. Par manque de temps mais aussi mon fameux poison : la procrastination. Et comme dans toute chose, lorsque le temps manque, une simple tâche devient insurmontable et est sacrifiée avec soulagement.

À la prochaine !

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