Bonjour à toutes et à tous ! Qu’est-ce que j’ai l’impression de me répéter et de faire la même chose. C’est ça, mal gérer son temps…
Lundi je suis allé voir Avengers 3. J’ai aimé le film, que ce soit le traitement des personnages ou les effets spéciaux. Quelle belle réussie qui, après toute cette attente et ses enjeux, aurait donné un beau pétard mouillé. J’ai envie de stoppé là ce billet.
J’ai pu me mettre à jour des prises de notes pour double roman Noir et Rouge. J’ai maintenant une idée de la quantité de travail, assez conséquent, de taper à l’ordi l’entièreté des notes que j’ai accumulé au fil du temps. Si le Rouge est plutôt succinct, le Noir est pharamineux. Avec le premier, je me demande de quoi je vais le constituer tellement les vaches sont maigres. Tandis que le second, j’appréhende de la quantité d’informations : qu’est ce qui est à garder ? Comment retrouver les éléments pertinents et les exploiter ? Ce qui me surprend et dont je ne me doutais pas ; c’est la charge émotionnelle que cela fait naitre en moi. Si je suis incapable d’écrire mon double roman, j’aurai au moins un cahier intime. Voici comment je vais éviter de stresser contre le symptôme de la feuille blanche ou de la médiocrité : en ne pensant qu’au travail préparatoire. Je sous-entends là qu’il nécessite moins de temps et de concentration de cerveau… Mais c’est faux. Je dois noter et organiser mes ressentis tout en mettant au propre les mots… au secours ! courage !
En parallèle, je suis retourné voir mon imprimeur / maquettiste. Nous avons échangé sur les divers procédés de la concrétisation du roman. Si la partie maquette n’a jamais posé de soucis, l’impression semble une étape plus compliquée. Je vise le coût unitaire le plus bas possible, pour cela je dois viser de grandes quantités. Le but n’est pas d’être riche mais de rentrer dans mes frais sur le long terme. Il me faudra des années pour me faire connaître, des années à défendre et promouvoir mon projet. De grosses quantités impliquent un lourd investissement de départ. C’est mon risque. Je me souhaite la bienvenue dans le monde capitaliste… L’autre critère, c’est l’obtention d’un produit à l’aspect très professionnel, tenant la dragée haute aux cadors du milieu. L’allure du livre, ressemblent au standard du milieu ; impacte à 90% l’attrait d’un lecteur. Oui j’ai bien conscience que ce n’est pas ma prose, pour l’instant, croisons les doigts ; qui va susciter la première étincelle.
Je dois maintenant contacter un artiste que j’ai en tête, pour savoir s’il pourrait dessiner la couverture. En parallèle, je dois me lancer dans le statut d’auto-entrepreneur. Je vais me baser sur toutes les informations que j’ai déjà récupéré. Mais surtout franchir des portes…