32 ans, n°16

Bonjour à toutes et à toutes ! Voici le résumé de ma semaine, revenant à une course de sept jours où mes chronos sont plus que médiocres.

Commençons par m’houspiller un bon coup. Je pense, et j’ai surtout le souvenir, de n’avoir fait que très peu d’écriture. Et ma passion, et mes rêves dans tout ça ? Ils ne vont certainement pas se concrétiser tout seul…

En parlant de rêve, j’ai ait la découverte de Sandman. C’est un comics pour lequel j’ai eu une longue curiosité. Je le voyais en librairie et à la médiathèque. L’épaisseur de sa tranche m’a calmé un peu au début. Puis son style graphique ne concordait pas avec La vision l’idée que j’avais de lui. Sortir des normes, c’est la ligne de conduite que s’applique un peu trop souvent et naturellement. C’est un comics qui ne se livre que très peu d’emblée de jeu. Il faut creuser un peu afin de de délimiter deux zones : celle de la réalité et celle des rêves, différencier la matière vivante de cette du simple décor. Ce comics exulte ce dont les rêves sont : de mystères. Nos rêves sont liés autant à la vie qu’à la mort : qu’est-ce qui vous fascine le plus ? (Entre la vie, la mort et les rêves.)

Quand la réalisation des billets de 32 ans devient ma seule production littéraire de ma semaine… c’est navrant. Je pourrais me consoler de mon opiniâtreté, de m’y tenir, mais bon ;  il y a  la plus une autojustification que félicitation. [Allons-y pour évoquer un travail qu’ironiquement je n’ai pas effectué : le concours de nouvelle de Montbron. J’avais pour moi plusieurs semaines pour parachever un objectif tout à fait dans mes capacités… Pendant tout ce temps, j’avais conscience de tout celui, si précieux, que je dilapidais dans de pathétiques activités. J’ai encore quelques heures, quelques minutes et pourtant je ne les mettrai pas à profit.]

Ce week-end était surtout l’entreprise puis réussite d’un défi de deux courses en deux jours. Ce fût d’abord un trail à Roumazières. Il a été une épreuve de bout en bout : tempête à Angoulême me clouant au boulot, prise de risque sur la route pluvieuse pour rattraper mon retard, GPS qui me perd dans les petites routes, je remplis mal ma fiche d’inscription, peur que l’épreuve soit annulée ou que le départ soit déjà donné, etc. Durant la course, j’ai pu éprouver de nouvelles conditions physiques : le besoin de m’arrêter vraiment quelques instants pour « dégazage sauvage » ainsi que me prendre des ronces sur les jambes parce que je me suis planté de tracé. Par instinct ou chance, je n’ai pas beaucoup persévéré, au point de me faire lacérer les jambes. Tout ça pour dire que je suis satisfait de mon temps et ma condition physique. J’ai apprécié aussi ma préparation logistique à base de glaciaire transportant du poisson et de la viande de dinde que j’avais cuit dans l’intention de bien nourrir mon corps afin qu’il récupère bien pour le lendemain matin. Une bonne récupération passe par une bonne nuit de sommeil. C’est une étape que j’ai optimisé en ne sortant pas le soir et en me perdant pas dans une activité du genre Youtube ou un film (une bouteille de café m’avait permit de rentrer du trail en vie !)

Pousse Cailloux, c’est de base un circuit de randonnée et de VTT. Mais le groupe de coureurs qui m’a pris sous son aile m’a appris une astuce bien sympa : prendre part au flot de participants tout en pratiquant le circuit en foulée de course tranquille. Evidement nous avons payé nos droits d’entrées. J’aurai du gouter le civet / pomme de terre qu’on nous proposait. (Mais ne plus jamais accepter le moindre verre d’alcool, même léger).

« N’hésitez pas à mettre un pouce bleu si vous avez aimé ce vlog, cela fait toujours très plaisir. »

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